L'histoire (scénario : Daniele Vessella, dessin et couleurs : Béatrice Penco Sechi)
Gaja ne parle qu’à ses poupées. Il faut dire que son visage déformé lui vaut d’être rejetée du monde, des autres enfants comme de son propre père. La seule personne à pouvoir comprendre Gaja est sa mère, Claire. Mais Claire a une santé précaire, qui ne s’améliore qu’avec cette drogue étrange que lui fourni son époux...
Mon avis
C'est dans un drôle d'univers que nous évoluons dans cette BD, en 2 tomes (normalement). L'atmosphère est particulière, avec ces couleurs rouge/rose accentuées presque tout le long.
Les personnages sont dessinés de manière un peu étrange, grosse tête et membres tous fins.
L'histoire est triste et plonge la petite Gaja dans une solitude extrême, au point de s'inventer un monde qu'avec ses poupées.
Nous la retrouverons apparemment adolescente dans le prochain tome, vu la fin de celui-ci. A voir comment elle aura évoluée... en mieux j'espère pour elle.
Ce thème sur la différence physique est traité de manière assez cruel et pas du tout "gentillet", en tout cas dans ce premier opus. On verra ce que nous réserve le second.
L'histoire est triste et plonge la petite Gaja dans une solitude extrême, au point de s'inventer un monde qu'avec ses poupées.
Nous la retrouverons apparemment adolescente dans le prochain tome, vu la fin de celui-ci. A voir comment elle aura évoluée... en mieux j'espère pour elle.
Ce thème sur la différence physique est traité de manière assez cruel et pas du tout "gentillet", en tout cas dans ce premier opus. On verra ce que nous réserve le second.
Pour conclure
Pas une BD indispensable, mais intéressante. Et ça change de celles que je peux lire d'habitude.
Pas une BD indispensable, mais intéressante. Et ça change de celles que je peux lire d'habitude.
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